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Dimanche
22 mars 2020 (page 711)
Les petits Giraud
Sauveur sont sortis dans le jardin de l'immeuble le temps d'une photo.
Ce sont des bateaux
de lavabo ou de baignoire : ils flottent debout mais ne supportent pas le
moindre souffle sous peine de dessalage.
Les trois voiliers
"moyens", je tenais beaucoup à les réunir parce que sept ou huit
exemplaires de chacun constituaient une flottille à l'école maternelle.
Une à deux fois
l'an, les maîtresses installaient des bassines sur des tables.
Et nous étions
invités à barboter avec ces petits esquifs durant une (trop petite) demi-heure
... J'avais entre 4 et 5 ans ! (Texte et photo : Jean R.)
Au XVIIIe siècle,
le pavillon jaune était devenu obligatoire en Angleterre pour les navires mis
en quarantaine.
L’isolement était
un moyen de lutte contre les épidémies venues d’outre-mer.
La dernière grande
peste ayant frappé notre pays, était arrivée en 1720 par le "Grand
Saint-Antoine" en provenance du Levant.
Il avait enfreint
les mesures de quarantaine. En quelques mois, la moitié des habitants de
Marseille décédèrent et 100 000 personnes moururent.
En France, une
ordonnance de 1822 imposa à tout bateau « une flamme de couleur jaune afin de
faire connaître son état de suspicion et empêcher toute approche.»
D’autres pays
adoptèrent le pavillon jaune.
(Sources ;
http://www.observatoire33.fr/hissez-le-pavillon-jaune/
De nos jours, si le
pavillon à carreaux noirs et jaunes (correspondant à la lettre L comme Lima)
est hissé dans le port, cela indique : "Navire en quarantaine"
Précisions et
anecdotes sur le sujet par Nicolas G. :
De mémoire ( qui
date d’une cinquantaine d’année ), tout navire arrivant dans un port étranger
devait mouiller en rade ( assez loin ! ),
et hisser le
pavillon jaune pour demander la « libre
pratique" .
Les autorités du
port venaient alors à la rencontre du navire, le visitaient éventuellement et
décidaient d’autoriser
la venue dans le
port et la libre pratique commerciale, ou de laisser le navire en quarantaine
s’il y avait un doute.
Il y a 9 ans, aux
Antilles, sur le catamaran de 45 pieds, quand nous changions d’ile, il fallait
se déclarer dans
le « port of entry », et tous les ports ne
sont pas équipés pour !
Cela consistait à
mouiller sur les bouées jaunes prévues à cet effet assez loin du bord, et à
hisser le pavillon jaune.
Les autorités
venaient très rapidement et nous indiquaient ( très fermement ! ) les
formalités à faire à terre avant toute chose:
Immigration, police
et douane. Ca prenait une bonne demi-journée, et encore il fallait viser les
très rares heures d’ouverture des différents bureaux.
Nous pouvions alors
rapprocher le bateau en choisissant un mouillage plus favorable à nos
déplacements, et affaler le pavillon jaune.
NON, les Luco playmobiles© ne vont pas se
laisser emporter par la vague mais résister à la tempête!
Avec eux, préparons
le débarquement en respectant les consignes de sécurité et en gardant le moral
et le sourire!
Bonjour à tous!
(Texte et Photo : Claude F.)
Pour les sorties en
mer, il faudra attendre (Texte et photo : Frédéric K.)
Quand dehors cela
souffle fort, mieux vaut rester au port ... (Texte et photo : Frédéric K.)
Utilisons ce temps
pour une revue d'inventaire par thème.
Ici les canots (les
trois plus gros - des Bassett-Lowke
- sont restés à la cave). (Texte et photo : Frédéric K.)
En remplacement de la
session de navigation de ce dimanche matin, j'ai pris le temps de ranger
correctement une aussière de pont ! (Texte et Photo : Vincent)
Puis le davier démesuré
d'origine, ici à droite, a été remplacé
par une fabrication sur mesure, faite ce matin, en inox brasé à l'argent (ici
au centre) avec réa en Ertalon.
Vivement les prochaines
navigations..." (Texte et Photo : Vincent)
Publication de Rudy
sur Facebook :
Le voilà bien occupé avec
142 cm à poncer!
La remorque pour amener
son navire au Luco est en fab
: deux essieux dont un articulé qui
s'adapte à la caisse avec des roues gonflables de 26cm! (Photo : Rudy M.)
Dilemma en navigation confinée.
(Texte et Photo : Rémi P.)
J'ai passé l'après-midi
dans le sous-sol Parisien. (Photo : Patrick B.)
Voilà une partie de la flotte au repos. En attente de
remise en état. Il y a du boulot! (Photo : Patrick B.)
Lien envoyé par Mikael J.
(Autriche) :
Vidéo "Un voyage à
travers Paris en 1890". Les Tuilerinautes sont à
voir à 4'05" sur la vidéo! : www.youtube.com/watch