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Dimanche
31 mai 2020 (page 721)
Message de Jean :
Voici quelques
images de cette matinée ensoleillée au Luco ! (Photo
: Claude F.)
(Photo : Patrick
B.)
(Photo : Patrick
B.)
Un ruban noir
flotte au mât de certains bateaux, en hommage et en mémoire de Didier. (Photo :
Jean R.)
(Photo : Claude F.)
(Photo : Claude F.)
Deux voiliers Tirot tout neufs découvrent leur élément. Ici, un Tirot 401, parmi les meilleurs de la marque. (Photo : Jean
R.)
... et un autre
voilier tout neuf : un Tirot 504. (Photo : Jean R.)
Terriblement
efficace et sûr : le voilier de construction personnelle de Jean-Yves. (Photo :
Jean R.)
Sans doute le plus
beau voilier du Luco et depuis des années : la
goélette de Jean-Marc ! (Photo : Jean R.)
(Photo : Claude F.)
Exceptionnels sur
les plans d'eau : ce vapeur est muni d'une machine monocylindre Wilesco, peut-être un peu juste pour ce lourd navire...
Ce même moteur est
monté sur les véhicules routiers de la marque...! (Photo : Jean R.)
Un tout petit mais
courageux moteur.... (Photo : Jean R.)
(Photo : Patrick
B.)
(Photo : Patrick
B.)
(Photo : Claude F.)
(Photo : Pascal P.)
(Photo : Pascal P.)
(Photo : Patrick
B.)
Message de Sylvère :
Dommage, je ne
serai pas au rendez-vous pour la rentrée au Luco, mais
au bord de l'eau dans le Loiret avec
bateaux. A bientôt.
A bientôt, si tout
se passe bien sur le Luco.
La suite du
chantier de Victor :
Après ce beau
dimanche de navigation (et quelques coup de soleil), une petite mise à jour de
l’avancement du chantier.
Les effets du déconfinement « progressif » se font sentir, le chantier
avance moins vite (et j’arrive dans les phases de finition de la coque qui me
motivent nettement moins).
Quelques avancées
depuis mon dernier message néanmoins.
La coque a été
percée pour permettre le passage de l’ogive/pivot de quille. Elle est un peu
plus grosse que souhaité mais c’est à cause de la hauteur de
l’axe, difficile de
faire mieux à cette échelle. Des éléments de carénage fixes seront ajoutés
devant et derrière.
Ici présentée en position
droite et angulée à fond (45°). Le trou sur le coté (pas encore à la bonne
position, il sera plus en avant) montre le second axe de rotation de la quille,
afin de pouvoir
reculer les masses au portant (on verra bien peut-être cela permettra-t-il de
planer un peu et de limiter les enfournement ?)
Vue de l’intérieur
:
Une cadène de
sous-barbe a été ajoutée, au cas ou l’envie de mettre un bout-dehors me prenne
un jour (on ne sait jamais…). Elle est structurellement fixée avec des bandes
d’UD carbone.
Le livet et les bord
du cockpit ont été arrondis, la coque a maintenant son allure définitive.
Ensuite place aux
opérations longues et fastidieuse d’enduit et stratification de la peau
extérieure.
J’ai d’abord tenté
de faire un enduit global, époxy chargée de microballon. J’ai été pressé par le
temps de prise de l’époxy et ca a été un échec,
il a fallu
pratiquement tout re-poncer (et l’époxy étant
nettement plus dure que le balsa, c’est facile de faire des bêtises)
Ensuite j’ai tenté
d’entoiler tout l’extérieure de la coque en une fois avec une poche à vide un
peu compliquée à faire pour plaquer tout ca.
A nouveau un échec
: erreur dans la préparation de l’époxy, pompe à vide en panne, vide qui fuit de
partout. Même résultat on recommence tout.
J’ai donc entoilé «
au contact » de façon plus classique, avec un tissus d’arrachage pour limiter
la quantité de résine.
L’ensemble a été
plaqué en utilisant du film alimentaire.
L’opération a été
faite en deux fois, la coque puis le pont. Le résultat est correct (sans plus)
et demande encore beaucoup de finitions
Une première couche
de primaire d’accroche mise pour pouvoir mieux voir en ponçant les défauts à
corriger :
Suite du message de
Victor :
Autre sujet
profitant du déconfinement, deux engins navigants «
bouteille».
Un catamaran et un
sous-marin à élastique.
Le catamaran marche
bien, mais chavire parfois sur enfournement quand le mistral est trop fort (des
moustaches à l’avant des flotteurs ont permis de retarder le problème).
Le sous-marin à
élastique : une bouteille d’eau pétillantes, quelques bouchons de liège pour la
flottaison, quelques caillous collés pour le lest,
de la barquette alimentaire
pour les « gouvernes », un fond de boite de conserve pour tailler l’hélice et
quelques trombones et un grand élastique pour le moteur.
Gros avantage de ce
genre de construction, aucune étanchéité n’est nécessaire, on fait de gros
trous pour que la coque soit remplie d’eau.
Le sous-marin a
demandé pas mal de mise au point, au début il plongeait à pic et restait à
fouiller le fond jusqu’à ce que le moteur soit vide:
https://photos.app.goo.gl/qGvYeEEbHvTQXws6A
Après quelques
modifications c’était mieux et on a pu obtenir une plongée stable d’environ une
minute :
https://photos.app.goo.gl/zCJz24Va5hns5i5Z9
Image rare d’un
voilier remorquant un sous-marin en perdition :